C’est l’hiver et la nuit a déjà commencé de tomber. Les réverbères alignés dans la rue se reflètent sur les vitrines. Quelques voitures passent, faisant grand bruit sur les pavés.
Des couples se promènent, vêtus de pardessus épais, la tête couverte d’un chapeau pour la plupart. Un vendeur de marrons lit un journal à la lumière du brasero.
Au coin d’une rue, la silhouette imposante du Théâtre des Muses apparaît et happe vos pensées. Vous entrez par une petite porte, incrustée dans celle, immense, faite de bois brut et qui ne s’ouvre que pour la foule, et la refermez derrière vous.
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