Initialement publié sur http://linuxfr.org/~LarryCow/4586.html.

Les meilleurs jeux auxquels j’ai joué (punaise, ça en fait pas mal, mine de rien) :
(Liste vaguement classée.)

(On va commencer par ceux qui sont bons pour débuter.)

Glowgrass

De la bonne science-fiction/exploration, pas trop dur, pas trop long, idéal pour débuter.

Uncle Zebulon’s Will

De la magie, mais pas trop. Un autre bon jeu pour débutants, un autre bon jeu tout court. Très sympa.

John’s Fire Witch

Du fantastique sympa, et pas trop dur, bien pour les débutants.

(On va continuer avec des grands classiques, un peu plus durs, et nettement plus longs. Les gros jeux, quoi.)

Worlds Apart

Excellentissime science-fiction. (Attention, le début est un peu difficile.) (Ne pas confondre science-fiction et space-opera.) Ce jeu est énorme (très long, univers très détaillé, etc.)

Anchorhead

Le meilleur jeu dans l’univers de Lovecraft qui ait jamais existé, point. Très bon, très long, mémorable, excellent, je me suis éclaté.

Theatre

Un autre jeu Lovecraftien (mais pas uniquement). C’est celui qui m’a fait plonger dans l’univers de l’IF. Un peu long, un peu dur, mais pas trop.

Babel

Ah, que de bons souvenirs ! Un thriller dans une station arctique… Très très bon. Relativement long (pas trop non plus).

The Light: Shelby’s Addendum

Science-fiction (plus ou moins). Un jeu assez gros, sympa, un micro-poil old-school.

(Moins longs et excellents, l’idéal quand on n’a pas trop de temps.)

Spider and Web

Excellentissime jeu d’espionnage. Un régal, et pas trop long en plus.

Kaged

Bienvenue chez Kafka. Faites de bons cauchemars. (Pensez à prendre la version avec musiques.)

Little Blue Men

Ce que j’aime avec l’IF, c’est ces petits jeux qui déchirent. Bienvenue dans une vie de bureau de merde… mais peut-être tout n’est pas ce qu’il semble être en surface ?

Aayela

Médiéval fantastique. Ne laisse pas un grand souvenir, mais bien agréable quand même. Une bonne partie du jeu se déroule dans le noir complet, c’est bien géré.

Insight

Science-fiction, avec une énigme un peu prise de tête. On n’apprécie vraiment qu’après coup.

(Les jeux émouvants. Pas trop d’énigmes, beaucoup de souvenirs.)

Photopia

Très émouvant. Un jeu sans presque d’énigme (sauf une, assez mythique), linéaire, très bien écrit, difficile à oublier. Un jeu très court également, une ou deux heures de jeu.

The Photograph

Bienvenue dans la dépression d’un homme. Le jeu qui m’a le plus ému lors de la dernière compétition anuelle d’IF (octobre 2002). Pas trop dur, mais quelle histoire, avec une belle fin fantastique.

(Les autres jeux. Expérimentations, courts délires, sympa, mais pas pour débuter.)

I-0

Un jeu assez hot (dans les deux sens) avec plein de manières de le finir. Du coup, ça se laisse rejouer, c’est sympa. Assez court.

9:05

Un jeu ultra-court, avec un rebondissement fantastique qui change toute la perspective du jeu. Il ne faut rien en dire ou en lire, car sinon on gâche tout. L’équivalent en IF d’un court métrage inventif et mémorable.

The Moonlit Tower

Tendance mythologie chinoise et amours contrariés. Ultra bien écrit, onirique, pas long mais pas si facile.

The Granite Book

Étrange univers, étrange narration, encore un jeu qui ne peut exister qu’en tant qu’IF. De quoi rebuter les débutants, toutefois.

Common Ground

Très court. L’originalité vient du fait que l’histoire est présentée de plein de points de vue différents. Pas un bon moyen de découvrir l’IF toutefois.