Lorsque vous arrivez sur le pont supérieur, rien n’a vraiment changé depuis la veille. Pas un souffle de vent, la grande voile pend de son mât : le bateau n’avance pas. On croirait presque que l’ancre a été jetée. Une vraie bonace.
Vous soupirez : déjà trois jours que le vent est quasiment inexistant. Dans cette partie de la Méditerranée, et en cette saison, c’est plutôt rare ; personne pas même les marins les plus expérimentés n’auraient pu prévoir ça. C’est un évènement assez exceptionnel, et étrange ; à croire que les dieux sont contre ce bateau.
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